Les résultats de nouvelles études indiquent que, chez une proportion importante de patients atteints de SEP, on passe à côté de l’activité inflammatoire si le contrôle par IRM se limite au cerveau sans inclure la moelle épinière.
Dans une présentation en poster au congrès de l’ECTRIMS 2018, des chercheurs de centres situés à Rome, en Italie, ont fait état de leur étude de la fréquence de l’activité inflammatoire dans le cerveau et la moelle épinière.
Ils ont étudié 828 patients atteints de SEP (durée médiane de la maladie : 5,8 ans) pour lesquels des données suffisantes (y compris des clichés du cerveau et de la moelle épinière) étaient disponibles. Un peu plus de la moitié avait une maladie rémittente-récurrente.