Les encéphalites auto-immunes sont un groupe de maladies neurologiques rares, pouvant être difficiles à diagnostiquer.
Connaître la stratégie diagnostique vis-à-vis des encéphalites auto-immunes est donc importante dans ce contexte. La question soumise à controverse ce jour est : si en recherchant systématiquement les anticorps connus de ces encéphalites, pourra-t-on améliorer le « rendement » diagnostique ?